Date de la sortie
·
Temps d'activité
9 h passées sous terre

Aven Grégoire

Participants
  • Prénom
    Sébastien
  • Prénom
    Aloé
  • Prénom
    Guillaume
  • Prénom
    Rodolphe
  • Prénom
    Mathieu
  • Prénom
    Adèle
  • Prénom
    Adeline
  • Prénom
    Jean-Charles
  • Prénom
    Jérémy
  • Prénom
    Soline
  • Prénom
    Jonathan
  • Prénom
    Maria
  • Prénom
    Agathe

Troisième jour du week-end, en équipe réduite car le lundi n’était pas férié pour tout le monde. Après une longue délibération des cadres, on décide que tout le monde part (enfants compris), réparti en trois groupes depuis l’entrée bis, afin d’éviter les problèmes de vitesse et d’inertie sur le TPST.

  • Groupe 1 : Mathieu, Adèle, Adeline, Jean-Charles

  • Groupe 2 : Sébastien, Aloé, Guillaume, Rodolphe

  • Groupe 3 : Jérémy, Soline, Agathe, Jonathan, Maria

On se retrouve à l’entrè bis de la grotte vers 11 h. Les premiers groupes entrent vers 11 h 15. Il y a une main courante optionnelle, puis assez vite un puits de 20 m équipé avec une main courante, suivi d’un puits d’environ 30 m. Attention aux cailloux qui glissent beaucoup.

Je fais partie du groupe 2. Je rejoins Mathieu dans le puits avant qu’il ne rappelle sa corde, et je le suis avec Aloé qui équipe les rappels. On s’attend un peu et on continue la descente. Le puits de 30 m peut coincer la corde au rappel : il faut parfois passer cinq minutes à manipuler la corde pour la décoincer. Mathieu nous laisse un kit de corde, donc notre groupe se sépare en deux pour qu’on puisse aussi s’exercer à équiper en traversée. On équipait en débrayable, façon canyoning, car il pouvait y avoir des frottements et on n’était pas sûrs de la longueur de corde nécessaire.

On avance à notre rythme et on rejoint le groupe de Mathieu à la salle à manger, où on mange tranquillement. On laisse aussi de l’avance au groupe 1. Après le repas, on continue et on arrive vite à la grande vire, qu’on traverse sans problème. On entre ensuite dans un grand couloir magnifique, qu’on explore jusqu’au bout. On se rend compte que c’est un cul-de-sac, donc on fait demi-tour, on tourne et on cherche. On finit par trouver le chemin indiqué sur la gauche, marqué par des flèches et situé à côté d’un gros disque. C’est un ramping un peu long, mais qui passe bien, parfois même à quatre pattes.

On continue et on arrive à deux petits lacs en bas d’un puits (mieux vaut le descendre avec un 0). Celui de droite est le bon chemin : il faut escalader un peu pour ne pas se mouiller. On remonte une belle pente et on finit par réentendre le groupe de Mathieu quand on est en haut d’un puits. Je descends et les rejoins rapidement pour faire la jonction. Tout va bien. Mathieu nous indique qu’on approche de la vire finale. Guillaume annonce qu’il va faire demi-tour pour rejoindre le groupe de l’arrière.

On prend un bon goûter vers 16 h. Mathieu et Aloé partent équiper la vire, tandis que les autres attendent dans la grande salle, face au mur. J’essaie d’apprendre des jeux à tout le monde (malgré leur réticence) : ce n’est pas toujours facile de les embarquer dans mes délires, mais ça passe et on arrive à bien occuper le temps. Vers 17 h, la vire est équipée et on communique par sifflet, ce qui est bien pratique. On rejoint alors la vire, un peu technique, mais tout le monde s’en sort bien, surtout avec l’aide de Mathieu qui reste pour nous assister. Apparemment, la vire se franchit avec une corde de 40 m.

Vers 17 h 30, les premiers sortent. Partant du principe qu’on allait attendre longtemps, on décide avec le groupe présent de se faire un petit point chaud. On sort tout le matériel et on réussit à avoir un système pas trop mal, qui fonctionne. On avait même une citrouille d’Halloween, trouvée sur place, qui mettait l’ambiance. On s’amuse un peu avec, puis on range tout quand on apprend que le groupe 3 arrive à la vire. On retourne à la voiture et les derniers nous rejoignent vers 19 h 30.

Publié par
Sébastien